Les prostituées sestiment dépouillées par la commune de Saint-Josse Plus dun an après le scandale médiatique concernant les réseaux de traite des femmes nigérianes ainsi que la mobilisation dans le quartier des carrées, force est de constater la réticence des autorités à déployer des moyens efficaces pour protéger les victimes dexploitation et lutter contre le proxénétisme. Continuer vers le site Paramètres Paramètres des cookies sur 7sur7: recommandés personnalisés Chaque jour, dans le monde, des personnes prennent la décision difficile de partir de chez elles dans lespoir de trouver une vie meilleure. Amnesty International veille à ce que leurs droits humains soient respectés et protégés durant toutes les étapes de leur périple, y compris lors de leur arrivée en Belgique.
Je passais souvent par la et y avait une qui faisait particulièrement pitié En 2013 et 2014, dautres initiatives virent le jour, avec pour objectif de créer du lien social dans le quartier. Au numéro 92 de la rue dAerschot, se trouvait un bâtiment vide aujourdhui démoli occupé du 1er juin au 14 juillet 2014 par un collectif dartistes baptisé Ri rbaucout un clin doeil au quartier voisin de Ribaucourt. Installés au rez-de-chaussée, les membres du collectif ont cherché à montrer une autre image de la rue, mais aussi à lancer une dynamique sociale dans le quartier en se réinventant travailleurs du bien-être AE. Il y a peu de temps jai appris que je suis séropositif VIH-sida Cet avis est lopinion subjective dun membre de TripAdvisor et non de TripAdvisor LLC. De Aarschotstraat. Ik geef haar vijf sterren, maar laat ik toch uitleggen waarom. Omdat het een van de meest ongure plekken is van de hoofdstad. Omdat er een hele wereldproblematiek is samengebald op enkele honderden meters. Omdat het een plaats is waarvan je moet weten dat ze bestaat. Niet omdat het lachen is. Bruxelles : un gang forçait des jeunes Françaises à se prostituer Lenquête avait été ouverte suite à la disparition dune adolescente française de 16 ans contrainte de se prostituer en Belgique. Presque un an après le lancement de son premier roadster, la SRF, voici que le constructeur californien dévoile une routière.. Les conditions de travail précaires des travailleuses du sexe, Tiphaine Malchair les connaît bien. Dans sa consultation ouverte au personnel de lhoreca, cette permanente FGTB namuroise reçoit parfois des filles employées dans les bars à champagne de la région de Gembloux. Elles lui font part des pratiques douteuses de certains employeurs, peu enclins à respecter les lois sociales, et de la précarité qui en découle. Difficile, par exemple, dobtenir des allocations de chômage quand le travail presté na pas été déclaré. Que des informations sur vos habitudes de navigation soient transmises à dautres sites web Une portion de la rue dAerschot redeviendra la rue de Cologne Au cours du week-end précédant la fête de Noël, de nombreux contrôles de police ont eu lieu un peu partout dans le pays en Belgique. La plupart avaient pour but de traquer les automobilistes avinés. Il en est un, toutefois, qui poursuivait un tout autre but. Il sest déroulé dans le quartier de la gare du Nord, à Bruxelles. La police locale y a mené une opération de sécurisation aux alentours de la rue dAerschot, un des hauts lieux de la prostitution dans la capitale. Vingt et une personnes ont fait lobjet dune mesure darrestation administrative pour trouble de lordre public. Ce qui est remarquable, cest que, sur les 41 véhicules contrôlés, 19 portaient des plaques minéralogiques françaises, et que, sur les 114 individus ayant fait lobjet dun contrôle, 50 étaient des ressortissants français. En vérité, ces chiffres ne sont étonnants quen apparence. En effet, la présence importante de jeunes Français dans le quartier chaud de la capitale belge remonte à plusieurs mois, comme nous la confirmé Bernard Clerfayt, bourgmestre de Schaerbeek, lune des communes concernées par le problème. En 2003, la loi dite Sarkozy, du nom du ministre de lIntérieur français de lépoque, a interdit le racolage sur la voie publique en France, ce qui a eu pour effet dentraîner la quasi-disparition du phénomène de prostitution sur les boulevards des villes doutre-Quiévrain. Loffre a disparu ou presque, fait observer M. Clerfayt, et plusieurs réseaux se sont rabattus sur les pays voisins, comme les Pays-Bas ou lAllemagne, mais aussi la Belgique. Une des conséquences de cette loi est que nombre de jeunes Français, désormais privés chez eux de cette forme de prostitution visible et bon marché, se sont offert des virées à Bruxelles, explique le bourgmestre. Ils viennent principalement le vendredi et le samedi soir, de diverses villes françaises, à quatre ou cinq par voiture, précise notre interlocuteur. Leurs déambulations devant les vitrines de la rue dAerschot ne constituent évidemment pas un délit en soi, mais ce qui est beaucoup plus gênant et répréhensible, cest quun certain nombre de ces touristes sexuels se livrent à des agissements qui troublent profondément lordre public. Ils organisent des rodéos entre eux, klaxonnent à tout-va dans les rues de Saint-Josse et de Schaerbeek, dérangent les riverains, boivent plus que de raison et, une fois ivres, importunent ou menacent les passants, voire les prostituées, relève M Clerfayt. Cest pourquoi, depuis plusieurs mois, des opérations de police sont régulièrement organisées pour mettre fin à ce type dagissements, et une surveillance accrue et permanente du quartier a été mise en place. Il faudra évidemment quelque temps avant que la nouvelle dune plus grande sévérité policière soit connue en France, ajoute M. Clerfayt, mais nous ne relâcherons pas nos efforts. Ceux-ci ont porté leurs fruits sur les boulevards du centre-ville, principalement le boulevard Albert-II, où, plusieurs années durant, des péripatéticiennes de plusieurs nationalités ont proposé leurs charmes de façon parfois provocante aux clients potentiels de quoi, là aussi, troubler lordre public. Les communes de Saint-Josse et de Schaerbeek ont largement réussi à endiguer le phénomène, se réjouit Bernard Clerfayt. Bruxelles-Ville est, de son côté, toujours confrontée à la prostitution à proximité des hôtels du centre, mais le problème le plus urgent, les associations de lutte contre la prostitution le confirment, se situe bel et bien dans le quartier nord. Disons que je me suis laissée entraîner et ça ne ma rien rapporté à part deux ans de prison. Cétait un coup de folie. Je me suis dit que je pouvais gagner de largent plus facilement sans travailler. Maintenant, je veux me mettre en ordre pour ma pension. Dans un bureau daide sociale, on me demande mon casier judiciaire. On me pose des questions. Je suis fâchée parce que tout ça remonte à plus de vingt ans. Jai payé pour cette erreur et je nai pas de sang sur les mains. Je suis certaine que cest aussi à cause de la prostitution, parce que je ne men suis jamais cachée. Ca ma peut-être porté préjudice mais je suis comme je suis. Jai lintention darrêter ce travail mais on ne maide pas à la réinsertion. Je suis cataloguée. Je ne peux pas travailler dans un home, je ne peux pas travailler avec des enfants, etc. Le Dr Bernard Vercruysse est un des fondateurs de la Maison médicale du Nord, située rue des Palais, à hauteur de léglise Sainte-Marie. Il travaille dans le quartier depuis 1975. Nous lui avons demandé de décrire lévolution quil a pu constater au fil du temps.
Il est 7 heures du matin. Petra peint les flèches. Et, une heure sécoule sans quaucun passant, ni aucune habitante de la rue, ne linterrompe ou ne lui adresse la parole. A 8 heures précises, Petra a enfin son premier contact avec la vie locale. Une patrouille de policiers. Je fais ça pour mon PhD en architecture, explique-t-elle. Les policiers éclatent de rire et linvitent à se rendre avec eux au commissariat de la place Liedts. Elle en ressort un peu bousculée, un seau et une éponge à le main, puis retourne sur les lieux de linfraction et se met à frotter le sol énergiquement, comme cela lui avait été ordonné par la commissaire en chef. Alors quelle est occupée à nettoyer le sol, elle a droit à un premier contact avec les filles de la rue, qui lui demandent tout naturellement ce quelle fait là. Certaines embranchent la conversation et commencent à lui parler de ce qui manque dans cette rue et de ce dont elles ont aujourdhui le plus besoin.
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